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Décès de Giscard D’Estaing : que deviendra son château ?
Après 16 ans de mise en vente, le domaine d’environ 14 hectares avec, environ 1000 mètres carrés de surface habitable, a été vendu à un acheteur venu d’Auvergne.
Jacques Estève, directeur d’Estève Immobilier, a déclaré que le prix en 2004 était de 2,9 millions d’euros, mais que le domaine s’est finalement vendu entre 1 et 1,5 million d’euros, la moitié du prix.
En effet, l’acte de vente a été signé le 5 février et l’acquéreur “est un auvergnat d’une cinquantaine d’années, très humble, très simple, et qui veut rester anonyme”, a expliqué Jacques Estève, qui connaît la famille Giscard d’Estaing depuis de nombreuses années.
“J’ai expliqué à Valéry Giscard d´Estaing en 2006 qu’il était difficile de vendre au-dessus de deux millions d’euros, mais en bon auvergnat il ne voulait pas descendre le prix”, a t-il plaisanté. La famille avait refusé plusieurs acheteurs. Un compromis a été signé avec un Néerlandais en 2008 via une autre agence, mais a échoué.
Au final, le château de la famille Giscard d’Estaing a donc mis 16 ans, avec une réduction de prix de 50%, pour que l’ancienne demeure trouve un nouvel acquéreur.
Loyers impayés : des propriétaires en colère contre Pierre & Vacances
Les propriétaires des résidences de tourisme sont en colère ! En effet, les gestionnaires immobiliers refusent de payer leur loyer. La raison ? Les confinements. Impossible pour eux d’exploiter leur bien pendant le premier et le deuxième confinement. Une fermeture de leur bien, justifie pour ces grands groupes le fait de ne pas s’acquitter de leur loyer.
Les concernés sont les groupes Odalys, Belambra ou encore Pierre & Vacances. Bien que certains groupes soient assez ouvert à la discussion, d’autres ne le sont pas. C’est le cas de Pierre & Vacances par exemple. «Pierre et Vacances n’a pas répondu à nos propositions de négociations dont la dernière expire ce jeudi 3 décembre. À défaut de réponse, je rédigerai des assignations afin de recouvrir judiciairement les loyers que nous estimons dus». Affirme Me Bertrand de Campredon, avocat du cabinet Goethe. Cette dernière défend près de 3000 propriétaires impatients.
Plusieurs propriétaires se retrouvent embarrassés. La plupart d’entre eux ont financé leur nouveau bien via un crédit d’achat. Il est donc vital pour eux de ne pas perdre de temps. Les propriétaires sont donc déçu de cet investissement pourtant durable et fiable ! En effet, ce type d’immobilier offre des loyers garantis tous les mois ! Cependant, la crise affecte grandement ce secteur.
Me Bertrand de Campredon demandera un remboursement intégral des loyers manqués des propriétaires pour les deux confinements. Soit 2 500 à 3 000 € par propriétaire.
Une rénovation énergétique qui s’applique aussi aux hôtels de luxe
A défaut d’espérer retrouver sa capacité d’accueil d’avant le confinement, un hôtel 5 étoiles décide de se refaire une beauté. En effet, cet établissement chic profite d’une faible occupation de ses locaux pour refaire complètement son système énergétique. Situé en plein Triangle d’or de la capitale dans le 8e arrondissement, cet hôtel compte bien être paré pour reprendre de l’activité.
Des travaux facilité par l’aide reçu. En effet, le dispositif des CEE a permis l’annulation des 20 000 € qu’aurait couté la manoeuvre. Un vrai bonheur pour les deux dirigeantes de l’hôtel qui espère économiser 10 % à 15 % grâce à la nouvelle isolation de chaleur pour leur chauffage ainsi que l’eau.