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Un propriétaire condamné à verser 27 000 euros à son locataire pour logement mal entretenu
La négligence d’un bailleur pour l’entretien de son bien durant une location peut lui couter cher ! En effet, un logement est qualifié de « décent » non pas seulement à l’entrée du locataire mais durant toute la durée de la location.
Cette histoire fait l’objet d’un logement à Marseille qui est exactement dans ce cas. Tout d’abord, rien qu’a l’entrée le logement n’était pas 100% propre. Il faisait l’objet d’un diagnostic énergétique assez désastreux. En effet, le bien était qualifié « d’énergivore ». De plus, le locataire avait remarqué des traces d’humidité, des fissures et une certaine présence de plomb dans les revêtements.
En dépit de tous ces défauts, le logement était tout de même « décent ». Sauf que 8 ans après, le propriétaire bailleur n’a fait aucun effort entre temps ! De ce fait, le logement s’est dégradé. Après la venue d’un diagnostiqueur (appelé par le locataire) le constat est lourd. Infiltrations, installation électrique défaillante, fissures, escaliers abimés, quantité de plomb énorme… La liste est longue !
En justice, le locataire réclame 30 000€ sur la base d’un logement jugé indécent dès son entrée dans les lieux. De son côté, le propriétaire déclare que le logement était bien décent à son entrée et que le locataire s’y est installé en pleine connaissance de cause. La justice n’est pas d’accord avec la déclaration du propriétaire. En effet, c’est au propriétaire de veiller à la bonne tenue du bien durant la location de son logement. Au final, le bailleur est condamnée à verser 27.112 euros, soit l’équivalent de près de 30% du loyer sur toute la période de location !
La rénovation d’une villa aux Sables d’Olonne pose problème !
Cette magnifique villa située aux sables d’Olonne s’appelle « la villa Mirasol » et elle est d’une rareté sans nom ! En effet, c’est l’une des rares à être classée aux monuments historiques. Pourtant cette villa mythique est défigurée. En tout cas c’est comme cela qu’est qualifiée cette villa par les riverains et passants. L’objet du crime ? Une extension « disgracieuse » qui s’est posée sur le toit de la villa. Depuis un moment, cette extension était invisible du fait d’une bâche de travaux qui la couvrait.
Le bâtiment, étant possédé par une entreprise, dispose désormais d’une nouvelle salle de réunion. Sauf que même le maire de la ville n’est pas en accord avec cette extension. «Ce n’était pas du tout l’esprit et les attentes que la Ville avait exprimés auprès des propriétaires» a-t-il annoncé. Le propriétaire lui-même s’étonne des proportions de l’extension. Il semblerait que l’auteur des travaux soit en cause. Le projet semble donc vouloir évoluer pour changer les choses.
Un écoquartier à Issy casse les codes habituels !
On parle non pas d’un nouveau projet immobilier mais plutôt d’un projet urbain pour le nouveau quartier qui sera implanté à Issy-les-Moulineaux. Ce nouveaux quartier fera tout de même 3 hectares ! Le nouvel espace comprendra 627 logements, plusieurs loisirs (cinéma, commerces), des bureaux et une résidence sénior. Le nouvel écoquartier plantera plus de 1000 arbres et arbustes. La ville souhaite également s’inscrire dans un mouvement contre l’obsolescence des bâtiments.
Le projet semble ambitieux surtout en terme de coût. Mais cela ne fait pas peur au maire de la ville qui n’y voit pas un obstacle. Il reste convaincu que ce nouvel espace saura convaincre les habitants. Le projet doit aboutir d’ici octobre. Voici quelques photos sublimes !