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Pas d’ascenseur pendant 6 mois pour cette tour de 17 étages !
Un ascenseur défectueux est un petit désagrément de la vie quotidienne qui peut gêner les copropriétaire. Mais quand on habite au 17ème étage, un petit désagrément se transforme en un énorme problème. C’est ce qui se passe dans une tour à Firminy (Haute-Loire). Le dimanche 26 novembre, un incendie s’est déclaré sur le site et deux cabines d’ascenseur ont été endommagées et ont nécessité des réparations. Mais les travaux prendront “trois à six mois” pour être réalisés, selon Habitat et Métropole, le bailleur social qui gère le logement.
Le maire et le bailleur ont réuni les locataires de la tour pour tenter d’apporter des solutions aux difficultés auxquelles ils sont confrontés dans leur quotidien. Ils ont estimé que la quantité de travaux était justifiée puisque l’ascenseur était très endommagé. Par conséquent tout doit être refait. Cela ne suffira pas à rassurer les résidents des 80 appartements de l’immeuble !
Un hôtel de luxe tout près des chutes du Niagara ?
Ce serait l’emplacement idéal de cet hôtel ! Au-dessus des chutes du Fer-à-Cheval (les chutes du Niagara sont du côté canadien et sont divisées en trois parties, canadienne et américaine). Il viendrait remplacer une bâtisse restée à l’abandon pendant près de 50 ans. Il faut dire que malgré son architecture Beaux-Arts, évoquant un immeuble ou un musée, ce bâtiment de 1906 avait une mission purement utilitaire. Il s’agissait en effet de la centrale hydroélectrique Toronto Power qui a fourni de l’électricité jusqu’en 1974.
Le bâtiment a été déclaré « lieu historique national » par les autorités canadiennes en 1983 et est ensuite devenu la propriété de la Commission des parcs du Niagara, une agence du ministère du Tourisme de l’Ontario.
Après une longue période d’inactivité et la mise en place d’un processus décisionnel pour modifier l’usage du bâtiment, la collectivité a retenu le projet de création d’une boutique-hôtel cinq étoiles sur le site historique.
Ce nouveau quartier à Monaco prend enfin vie !
Il s’agit d’un chantier superlatif qui est actuellement bien engagé à Monaco. Dans le quartier de l’Anse du Portier, le projet de créer de toutes pièces un nouveau quartier de 6 hectares en poussant sur la mer est désormais dans sa phase finale. Le défi a été lancé en 2015 pour créer de nouvelles opportunités de croissance économique et démographique dans la principauté, qui ne s’étend que sur 2 kilomètres carrés. Cet aménagement offshore, sous la forme d’une zone écologique appelée Mareterra (entre terre et mer), est le septième projet de ce type réalisé autour du rocher depuis 1907.
Depuis plus d’un siècle (entre le Port Hercule, Fontvieille et Larvoto), Monaco occupe plus de 55 hectares de terres côté mer, et depuis les années 1970 ces agrandissements ont porté la surface bâtie à 840 000 mètres carrés, ce qui est un quart de la superficie des bâtiments monégasques. Mareterra s’inscrit donc dans la continuité d’une tendance tout en créant de nombreuses ruptures avec le passé. Il s’agit donc de la première écorégion de la principauté et d’une extension totalement artificielle, mais 40 % de sa superficie sera recouverte de végétation. Une exception et un futur îlot de fraîcheur dans une ville encore pleine de minéraux.