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Etats-Unis : là-bas on emprunte à plus de 7% sur 30 ans !
C’est du jamais vu ! Du moins pour ce qui est des Français, mais aussi pour les habitants des Etats-Unis ! Là-bas les taux d’intérêts des prêts immobiliers s’envolent. La cause première ? La forte inflation. Cette dernière les ont poussé à s’envoler à hauteur de 7% ! Un triste “exploit” jamais réalisé depuis au moins 20 ans…
De nos jours un prêt à taux fixe s’étale en moyenne sur 30 ans aux Etats-Unis. Le taux d’intérêt quant à lui est en moyenne de 7,08% (source : Freddie Mac). Pour marquer le contraste, il y a un an, le taux moyen tournait plutôt autour de 3,14%. Les Français peuvent s’estimer heureux. En effet, les crédits sur 30 ans sont formellement interdits dans l’hexagone. Les ménages quant à eux empruntent autour des 2% sur 20 années en moyenne. Cependant, les emprunts de 25 ans restent les plus sollicités (source : Observatoire Crédit Logement/CSA).
Les experts locaux craignent que cette hausse entrainera une stagnation du marché. De nombreux acheteurs potentiels préfèrent attendre ce qui pousse la demande et les prix à baisser.
Un mur de 3m50 le prive de soleil, il décide de le faire raser
Un propriétaire à Orgeval (78), dans les Yvelines, s’est retrouvé privé de vue depuis sa Terrasse depuis septembre. La cause ? Un mur de 3 mètres 50 qui se dresse en face de lui. Il n’y a pas à aller chercher bien loin pour trouver un fautif puisque ce serait son voisin qui l’aurait construit. Résultat : Eric, le propriétaire, est privé d’ensoleillement sur sa propriété. Non content de sa situation, cette dernière risque d’empirer ! En effet, son voisin prévoit une agrandissement du mur à hauteur de 7 mètres !
Ni une ni deux, Eric à contesté le permis de construire dressé par la Mairie. Deux recours en justice ont été stipulé par le propriétaire mécontent. L’un pour non respect du Plan local d’urbanisme et l’autre pour trouble du voisinage !
Ce dernier à même demander l’arrêt urgent des travaux en attendant le jugement. En attendant l’audience du 7 novembre la mairie à déjà partagé son point de vue. Cette dernière stipule que le PLU serait parfaitement respecté ici. Eric serait donc en tort. Ce dernier envisage, en attendant le jugement, de vendre son bien s’il n’obtient pas gain de cause.
Cambriolage : s’il désire être assuré, c’est au locataire de payer sa porte blindée
Sachez une chose, votre assureur ne vous soutiendra pas après un cambriolage si votre porte n’était pas munie d’une serrure à trois points ! On parle ici de serrures qui permettent la fermeture sur plusieurs points de verrouillage situés en haut et en bas de la porte. Une telle porte offre de sérieuses garanties de protection.
Monsieur X (son nom est anonyme) est un locataire qui n’était pas au courant de cette particularité ! En effet, après un cambriolage son assureur à refusé toute indemnité pour cette raison. Sa porte était classique et n’était pas conforme au dispositif de sécurité exigé par son contrat.
Pensant obtenir gain de cause en assignant son propriétaire, il a bien été surpris. En effet, le locataire a été débouté en première instance ainsi qu’en appel ! Ce dernier réclamait 3000€ à son propriétaire mais aucun gain de cause ne lui a donné raison. A ce sujet, la Cour d’appel de Colmar a bien stipulé qu’«aucune disposition légale ou réglementaire n’impose au bailleur d’assurer la fermeture des locaux loués avec… une fermeture multipoint».
C’est donc au locataire de procéder à l’installation d’une porte blindée s’il la désire. Pour rappel, une porte de ce type coute entre 400 et 2000€.