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Les lois contre les locations touristiques redurcies par les députés !
Il y avait un trou dans la raquette et il est désormais comblé ! Jusqu’à présent, les logements énergivores (classes F et G du Diagnostic de performance énergétique) ne pouvaient pas être loués à long terme, mais sur des plateformes de voyage, c’était possible. De quoi irriter professionnels et élus, qui voient de plus en plus de logements affluer vers Airbnb, Leboncoin ou Booking, asséchant ainsi le marché locatif traditionnel. Un projet de loi voté mercredi par une commission de l’Assemblée nationale met fin à cette situation.
Le texte, défendu par la députée Renaissance Annaïg Le Meur et la députée socialiste Inaki Echaniz, prévoit donc de « cumuler les obligations énergétiques des meublés de tourisme avec celles de l’hébergement traditionnel ». Autrement dit, s’il s’agit d’une projection chaude, vous ne pouvez pas louer de logement sur la plateforme de voyage. La mesure a été soutenue par le ministre du Logement, Patrice Vergriete, qui a défendu l’exception pour les logements « G ».
Un squatteur délogé par un propriétaire … à coup de pelleteuse !
Jean-Louis Wilton, lui, était à bout de nerfs. Le Varois se revendique propriétaire d’un terrain agricole de 3 hectares aux Arcs sur Argens, propriété de son ancien locataire Rémy Battaglia depuis 2019. Occuper sans aucun droit ni titre. La justice s’est déjà prononcée en faveur des deux premiers, les squatteurs ayant même dû accomplir des procédures “d’expulsion en urgence” dans un délai de 72 heures début novembre, rapporte Var Matin. Ce n’était pas le cas, ce qui a incité les propriétaires à organiser un coup d’État spectaculaire ce week-end.
Entouré d’une centaine de voisins et de sympathisants qui l’ont suivi, le propriétaire à la retraite a tenté d’utiliser un tractopelle pour forcer le portail et accéder à son terrain. Mais selon le Val Martin, l’opération a été empêchée par la police militaire qui surveillait les lieux depuis le matin. Une dizaine d’autres personnes, dont des mineurs, étaient assises sur une caravane derrière un portail de clôture. La police a saisi sur place des machettes, des matraques et des haches.
Ces derniers mois, bulldozers, tractopelles et autres excavatrices sont devenus le dernier recours des propriétaires en colère !
Un palais à Los Angeles baisse son prix de vente de 55 millions de dollars !
Même si l’immobilier de luxe reste pour l’instant épargné par la crise, les vendeurs les plus gourmands doivent parfois revoir à la baisse leurs ambitions. C’est le cas de la vente de la « Casa Encatada » (« Maison enchantée » en espagnol), qui, en juin dernier, a été classée comme la propriété la plus chère des États-Unis, avec un montant faramineux de 250 millions de dollars. Hélas, si l’achat du Château Louvessien par le prince héritier d’Arabie saoudite Mohammed ben Salmane, pour 275 millions de dollars, égale ou dépasse ce prix exorbitant, on ne peut pas en dire autant de cette villa située dans le quartier de Bel Air à Los Angeles.
C’est bien sûr une propriété extraordinaire, avec ses 34 000 m² d’enclave de premier ordre sur le promontoire, une suite parentale de près de 350 m², un incroyable pavillon piscine, un court de tennis, une roseraie, un jardin botanique, un terrain de sport. L’hôtel a été conçu pour une riche héritière dans les années 1930, puis vendu au magnat de l’hôtellerie Conrad Hilton en 1950. Selon le site spécialisé Robb Report, l’ancien patron de la multinationale fruitière Dole Foods a acheté la propriété puis l’a revendue en 2000 à son dernier propriétaire, le financier Gary Winnick, et à son épouse Karen, artiste et écrivaine, pour 94 millions de dollars. .