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La taxe foncière pourrait être payée en partie par les locataires ?
“Les propriétaires ne sont plus seulement désillusionnés, ils sont carrément en colère !”, moins d’un mois après son entrée en fonction, Sylvain Grataloup, le nouveau président de l’Union nationale des propriétaires immobiliers (UNPI), a publié sa première annonce. Entre plafonnement des hausses de loyers (+3,5%), interdictions de louer des logements énergivores (classés F ou G dans le Diagnostic de performance énergétique) et hausse de la taxe foncière (+9,3% en moyenne en 2023 dans les 200 plus grandes villes), les propriétaires sont frustrés. Ce sentiment a sans aucun doute atteint son apogée. Sylvain Grataloup souligne : “Ils ont l’impression de payer pour tout le monde parce qu’ils sont considérés comme riches alors que la plupart des gens ne le sont pas et que la propriété n’est qu’un outil social.” Mais le gouvernement ne comprend pas ! Cela signifie que sa politique du logement est inexistante. “
L’envolée des taxes foncières, qui vous donne jusqu’au 21 octobre pour payer vos taxes foncières si vous choisissez de payer en ligne, exacerbe toutes les tensions. Contrairement au loyer, il n’y a pas de limite à son augmentation. “En refusant de limiter la hausse des taxes foncières, le gouvernement a choisi son camp : les intérêts des collectivités locales plutôt que ceux des propriétaires qui hébergent les locataires”, a dénoncé l’avocat de l’UNPI, Frédéric Zumbiehl.
En guise de solution l’UNPI propose que la taxe foncière soit réglée en partie par les locataire. Ce qui résoudrait les soucis d’équité fiscale. Sauf que ce choix aurait deux soucis majeurs. «D’une part, il faut une loi et d’autre part, les députés devraient se montrer réticents à adopter cette mesure si leurs électeurs sont en majorité des locataires», ajoute un avocat fiscaliste.
Les franchisés de Stéphane Plaza Immobilier sont furieux
Nous les attendons de pied ferme et nous leur demanderons certainement des comptes ! L’ascension sans précédent de l’agent immobilier n’est pas due à la flambée des taux de crédit, mais à l’événement qui est sur toutes les lèvres du microcosme immobilier : l’enquête pour violences conjugales sur Stefan Place. Les agents immobiliers s’inquiètent pour leur avenir et l’impact de l’incident sur leur activité économique.
Afin d’apaiser leur colère, la direction a décidé de les rencontrer lors du “Tour de France”, qui a débuté le 12 octobre et s’est terminé le 31 octobre. “Nous savons enfin qui nous dirige!”, s’est indigné un franchisé. « Nous n’allons pas manger du gâteau avec eux », a déclaré en riant un autre agent immobilier. S’ils ne veulent pas prendre de mesures sévères, nous le ferons.” (source : Figaro).
L’idée d’un recours collectif germe doucement mais sûrement et pourrait prendre forme d’ici la fin du mois si les franchisés ne sont pas satisfaits de la réponse de la direction. “On retire Stéphane Plaza du réseau !”, lance un agent immobilier varois (83 ans) particulièrement frustré. Bien sûr, nous avons un contrat, mais il ne dit pas que nous allons être affectés par l’image du franchiseur. “Certaines personnes en ont ressenti les effets concrètement.
«Je devais signer un mandat pour vendre une villa de 300 m² à 1,3 million d’euros mais la propriétaire a refusé de signer car la signature devait avoir lieu le lendemain de révélation sur une éventuelle affaire “Stéphane Plaza” et elle a eu le même problème (violences conjugales, NDLR) avec son ex-mari» déclare un agent varois.
Cela a confirmé les dommages moraux et financiers et une documentation est en cours de constitution.
Un renouveau complet pour cet ancien atelier d’artiste myhtique
C’est l’une des plus anciennes résidences d’artistes encore en activité au monde. L’Atelier 11 de la Cité Falguière, dans le 15e arrondissement de Paris, est un survivant. Il accueillit les plus grands esprits de Modigliani à Brancusi, en passant par Gauguin, Soutine et Tsuguharu Foujita, mais a bien faillit y passer à cause des pelleteuses et des découpages en appartements lors de la rénovation urbaine du quartier Montparnasse dans les années 1960.
150 ans plus tard, ce lieu mythique est très fatigué et a besoin de se réinventer tout en bénéficiant d’une profonde restauration. C’est ainsi que la Fondation du Patrimoine (par l’intermédiaire de sa représentation Île-de-France), en collaboration avec l’Association Cité de Falguière et AiR Art Association, a développé un projet de restauration de la façade du site et de rénovation de l’intérieur.
Pour projeter véritablement l’existence du 19e siècle dans le 21e siècle, ces derniers appellent à des partenariats pour accueillir le public et les artistes dans des résidences internationales d’art et de recherche.
Mais dans un premier temps, un appel aux dons a été lancé pour compléter le financement du projet. Les travaux intérieurs et extérieurs ont coûté près de 1,2 M€, dont 105 000 € déjà récoltés puisque le projet est lauréat de la Mission Patrimoine 2022 menée par Stéphane Bern !