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La Bretagne se refuse à la spéculation immobilière !
Pays basque et Bretagne, même guerre! Le mécontentement monte du côté breton depuis des mois (comme il a aussi augmenté dans le sud-ouest du pays) blâmant la flambée des prix de l’immobilier et la spéculation qui a rendu le logement presque inaccessible pour certains. Une idée semble avoir surgi pour limiter les effets néfastes de ce développement : classer toute la région en « zone de tension ».
Une désignation administrative couvrant les secteurs où la demande de logements est très supérieure à l’offre, assortie de mesures spécifiques.
Dans ces zones tendues, les loyers sont généralement encadrés et les résidences secondaires sont taxées. A ce jour, seules 1 100 villes françaises sont répertoriées dans ces fameuses régions. Cependant la Bretagne n’en fait pas partie du tout.
Finalement les Bretons s’impatient à tel point qu’une pétition de 8000 signatures s’est déclarée. Outre toutes les demandes réclamées les Bretons veulent une politique fiscale ambitieuse ! De plus ces derniers veulent aussi lutter contre la surconcentration des maxi-propriétaires.
Ce magnifique manoir normand du 16e siècle est en vente pour 130 000€
Ce véritable monument historique composé de deux pavillons est à l’abandon. Vous pouvez acheter le domaine des Mathurins près de Lisieux dans le Calvados (14) pour la modique somme de 130 000 €, soit le prix d’un petit studio dans certains quartiers de Paris.
« Rien de tel que cet immeuble singulier à pans de bois composé d’une galerie de deux étages avec plus de 11 travées réunissant deux pavillons en maçonnerie », explique le directeur commercial de l’agence Patrice Besse. En effet, ce bâtiment unique en son genre est constitué de damiers de briques, mais également de pans de bois.
Son origine, quant à elle, reste mystérieuse. Datant du 16e siècle, on pense qu’il aurait pu servir de maison de santé. Il a été inscrit aux Monuments historiques en 1928.
Les Américains craquent pour l’immobilier parisiens de luxe !
Cette fois, ils sont vraiment revenus ! Les acquéreurs américains, disparus du marché de l’immobilier haut de gamme parisien pour des raisons environnementales, font leur grand retour depuis des mois dans les plus beaux quartiers de la capitale. Les professionnels du terrain apprécient d’autant plus le retour que les Français, qui ont pris le relais pendant la crise sanitaire, ont commencé à devenir plus prudents. Surtout dans le 6e et 7e. Les acheteurs étrangers représentent désormais 20 % du marché. D’ailleurs, plus la fourchette de prix est élevée, plus il y a d’Américains sur le morceau !
Le Groupe Junot, qui vient de publier son rapport annuel, enregistre ainsi un bond de 65% des acheteurs étrangers en 2022, les États-Unis représentant à eux seuls 21% du total des étrangers (bien plus que les 11% de l’Italie).